Facebook c’est comme un frigo. un frigo que l’on ouvre plusieurs fois dans la même journée. On l’ouvre, disons, pour y trouver tout ce qu’on y a mis la veille ou il y a une semaine. On a l’impression de contrôler ce frigo. Après tout... on l’a choisi à notre image, on se l’est procuré puis on l’a consciencieusement rempli de choses qui nous semblait bonnes/nécessaires/intéressantes pour nous.
6h. Un réveil sonne. Les réflexes aussi. On a comme une petite faim. Allons faire un tour dans le frigo. “Juste pour voir”. En douceur, on regarde les petits pots de confitures (que nous appellerons ‘amis’), puis on trifouille encore ce frigo et on y trouve des restes ( que nous appellerons “un pêle-mêle flou de connaissances et leurs publications”). Ça va faire 30 minutes mais “aller, encore 5 minutes”.
RÉPÉTER (plus que de raison).
Aujourd’hui, j’ai quitté Facebook comme on quitte un pote toxique. Ce pote qu’on aime beaucoup, qui nous fait rire, qui a plein de trucs intéressants à dire et montrer, mais ce pote qui est aussi toujours sur ton dos, qui passe son temps à s’afficher et qui parfois te pousse insidieusement à te comparer à lui et aux autres.
Ce pote peut aussi être un non-pote, quelqu’un que tu connais à peine, mais qui a quand même accès à ta vie non-privée sur le net.
Ce pote c’est finalement aussi ton pire ennemi. Cette personne qui bouffe ton temps, ton mental, l’espace de stockage de ton téléphone et qui vient saborder ton quotidien.
Je parle de Facebook comme je pourrais parler de Snapchat, Instagram, Twitter et cie. Je parle de ce frigo, ce pote toxique, ce réseau social et des autres, de ce système d’auto-évaluation, de co-validation, de voyeurismes et d’envies.
Je parle de ce qu’il y a de plus sombre chez toi et moi. Ce qu’on ne s’avoue pas, ce à quoi on rêve, ce qui n’est pas instagramable.
Je parle de l’insoutenable lourdeur d’être et la légèreté de paraître.
Je parle, je parle...j’en viens à regretter la vraie vie, les vrais gens, les vrais préoccupations, une boîte mail vide de notifications, un carnet d’adresses poids plume mais de qualité, des soirées Netflix ou enfin je regarde l’écran de la télé au lieu du portable, les réveils phone-less de canard avec mon partenaire, une batterie de portable qui tient la distance bref un semblant de normalité.
Loin de moi l’idée de faire la donneuse de leçon. Je parle finalement et surtout de moi et mon rapport au book de faces. À tous ceux qui gèrent le social media-ing, chapeau bas. À tous ceux pour qui ça devient difficile,y’a pas de mal à faire un break.
À L'honneur sur le blog, ces marques que je découvre à peine et qui selon moi ne sont pas comme les autres. Chacune à leur façon elle révolutionnent notre quotidien, notre façon de penser entre autre l’ordre établi.
Le concept derrière cette marque est de donner un accès à des lunettes de vues de qualité égale à celle des grands lunetiers, avec une esthétique certaine tout en réduisant les coûts pour les clients. Ainsi, au lieu de payer le prix fort d’une chaîne de conception faisant appel à différents prestataires pour chaque étape de fabrication, Ace and Tate s’occupe de vos lunettes du début à la fin.
Pas besoin de se déplacer en magasin, prescription en main il suffit de se rendre sur leur site web, choisir ses lunettes puis passer commande! Le plus? Pour les personnes à forte prescription qui normalement doivent faire amincir chaque verre, A&T s’en occupe, sans frais supplémentaires. Aussi, si vous êtes dans le doute, vous pouvez choisir jusqu’à 5 paires à essayer à la maison avant de faire votre choix.
Pour finir, les lunettes arrive chez vous dans un délai de 10 jours maximum ( pour moi ce fut 7 jours) et vous pouvez être remboursé sous 30 jours si vous changez d’avis.
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Toujours en Europe je découvre grâce à Instagram, Indira de Paris ou comment être stylée en turbans quand on est pas douées.
On adore, les prints, les turbans plus minimalistes, les modernes, les rétro, les waxés
Surtout combien ils sublimes tout le monde, sans exception.
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Éternelle amoureuse de papeterie, je découvre 23heures59éditions.
Ce carnet de projets révolutionne le monde de la papeterie
Il concentre un carnet de bord, un bullet journal, un journal perso etc.
On adore l’esthétique minimaliste, l’infinie de possibilité qui s’offre à nous.
Je termine ce Tour de France par un arrêt à Metz dans la boutique concept store « Pièce Unique » qui abrite mon chouchou du mois, mon prochain achat, les Hirkas faits main par Yemine. Ça vaut le détour!
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Finalement aux US of A, je suis devenue adepte de Glossier, cette marque qui casse les codes. Parce que oui, la beauté ça peut aussi être naturel, rapide et effortless. Toute leur gamme est minimaliste et s’axe sur des tons frais pour le visage. Se maquiller en Glossier à été synonyme pour moi de compliment du genre « WoW, t’as bonne mine ». Plus besoin de faire le camion volée, le ravalement de façade, less is better.
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Enfin il y a shhhowerCap. À l’ouest rien de nouveau pourrait-on penser. Juste des bonnets de bains, des charlottes pour la douche. Soit. Cependant, fini de ressembler à une cantinière sous la douche ou à la plage parce qu’on a pas envie de se mouiller les cheveux. On peut désormais le faire avec style et fierté, quelque soit la texture de nos cheveux.